vendredi 16 octobre 2009

Diaporama (campagne sud Deux-Sèvres)

8 commentaires:

cécile a dit…

sympa ce petit diaporama ! bonne continuation de blog c'est bien parti !
la musique qui va bien...

Unknown a dit…

Bravo à la photographe ! On reconnaît bien dans ce diaporamas de beaux petits coins de notre charmant pays du Sud Deux-Sèvres (forêt de l'hermitain, dame de chambrille)...

Anonyme a dit…

jeteste

Unknown a dit…

Je trouve ce blog génial. J'aime bien les photos et la chanson de Jean Dubois, ça va bien ensemble, c'est vraiment le petit pays que nous connaissons.
Tu peux continuer ton blog!!!

CHICHINOU a dit…

BRAVO

CHICHINOU a dit…

AU SEUIL DE TA PASSION

Je suis venu m'asseoir au seuil de ton histoire,
impatient de découvrir le fond de ta passion,
installant un instant l'éveil de mon regard,
et l'écoute de celui qui aime les chansons.
La chanson de Jean DUBOIS résume à elle toute seule
le partage de notre goût pour les petits "chez-soi"
qui tisse au fil du temps pour toute notre existence
les racines les plus humbles d'un mode de vie choisi.
Le défilement des clichés apporte avec le chant
l'accord incontestable d'une harmonie parfaite
pour celui qui curieux de faire ta découverte
prit bien du plaisir à lire ta belle lettre ouverte.

La présence des chevaux aux oreilles dressées
y campe le témoignage vivant de leur complicité
à jamais liée aux bons soins d'une éleveuse
soucieuse en permanence de leur destinée heureuse.

La danse des épis de blé par un vent de chaleur
berce l'heureuse paysanne dans un champ couleur d'or,
mais qu'en sera-t-il à la fin de la moisson
quand la solitude la laissera au milieu de l'éteule?

Luxe unique pour le délice des yeux,
mille perles de rosées parent la grande fougère
et rajoutent par la lumière du soleil
la richesse de l'éclat dans un vert présentoir.

Le sente de promenade pour lendemain de bambochards,
sentier des plus étroits propice au temps de repos,
laisse se dégriser l'enthousiasme des fêtards
dans le chant agréable d'un refuge pour oiseaux.

En surface d'un plan d'eau majestueux de beauté,
avec leurs coeurs globuleux vifs et pâles à la fois,
leurs feuilles étalées dans ce miroir nacré,
les nénuphars tapissent un paysage de roi.

Aux craquements sournois et secs d'un étang glacé,
quel poète ne pourrait imaginer
le long épanchement des larmes du dégel,
signature du froid au sortir du sommeil.

La campagne dans une vue lointaine
ouvre à l'esprit loin des citées urbaines
la réflexion sur le calme du lieu,
contraste grandissant au tumulte des banlieues.

Qui oserait porter hache contre un arbre séculaire,
nous ne sommes que brindille face à son arborescence,
quand les noeux de son tronc , la vieillesse de son ombre
montrent qu'il a subi tous les assauts du temps.

Pour la Dame de Chambrille à la fin d'amour triste,
pétrifiée sur place en colonne de schiste,
les clairs de lune qui l'habillent de lumière
n'auront jamais l'éclat de son amour légendaire.

La fraîcheur du ruisseau transporte sa générosité
vers le besoin vital d'un domaine en aval,
richesse ô combien noble pour le maître jardinier,
tout aussi généreux dans le savoir du partage.

Mais que le temps paraît court la durée d'une chanson
quand les clichés suspendent l'attention et fertilisent l'imagination.
Alors empreint de la perception de touchantes sensations,
je me suis éloigné du seuil de ton histoire,
chanceux de mieux comprendre le fond de ta passion.

Sur le chemin du retour j'ai retrouvé
Cécile, Verogilles et Fabienne
qui étonnamment chantaient comme moi,
la bien noble chanson de l'artiste Jean DUBOIS.....

Jacky

CHICHINOU a dit…

125 éme ANNIVERSAIRE

A l'occasion du 125 ème anniversaire du stud book,
je suis venu en curieux découvrir, pour la première fois,
l'ambiance d'un concours, laisser mes oreilles capter les commentaires,
m'imprégner des odeurs, et surtout observer pour apprendre.

Quel monde de passionnés!!! et quelle raisonnance donner à cette passion
pour le cheval de trait poitevin???
-l'obsession positive pour développer une race
-la vocation d'un travail de conservation
-le besoin vital de réintroduire le cheval dans la nature au service de l'homme
-la continuité d'un travail familial
-un besoin pour exister où les efforts l'emportent sur l'intérêt
-ou tout simplement l'amour des animaux en général et du trait poitevin en particuler.

Si les grandes passions en général ouvrent la vie vers les grandes rêveries
ce jour là, la mesure m'a semblé totalement différente
par la sobriété de l'espérance qu'apportent ces animaux.

La passion vit si la ressemblance dure...
L'homme est-il capable de redécouvrir le travail avec du vivant, et,
de se rendre compte que le cheval vaut plus que certaines richesses?

Le blog de Karine a le mérite de nous inviter à y réfléchir....

Chichinou.

CHICHINOU a dit…

UNE JOURNEE SANS...

Une journée sans écrire est une journée perdue,
un moment dans le temps encerclé d'un blocus,
où mes mots enchaînés à l'ancrage de l'absence
se verraient prisonniers et contraints au silence.
Libérer chaque jour mon besoin d'écriture,
habiller tous les mot pour les faire revivre,
évite à mes paroles imprudentes par nature
le vil bavardage des ragots de village.
Ecrire et mettre en forme le fond de mes idées,
hors des clous classiques de notre parler usuel,
attire ton attention, suffit à la retenir,
encore faut-il savoir au mieux la satisfaire.

Sur ton blog tu défends la cause animale
nous présente au mieux ta passion du cheval,
recherche la présence d'amies sur ton chemin
comme font tous les éleveurs du cheval de trait poitevin.

Et si pour toi aussi...
Une journée sans...était...

Une journée loin de tes chevaux était une journée perdue
un moment dans le temps séparée de Cobus
où tes songes enchaînés au souci de leur destin en permanance
te mettaient prisonnière du bonheur de leur présence....

Chichinou.